NIFLURIL 3 POUR CENT, pommade, boîte de 1 tube de 60 g

Dernière révision : 28/02/2006

Taux de TVA : 2.1%

Laboratoire exploitant : BRISTOL-MYERS SQUIBB

Source : Base Claude Bernard
- Traitement local d'appoint des entorses.
- Traitement des veinites post-sclérothérapie, en cas de réaction inflammatoire intense.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
- antécédent d'asthme à l'acide niflumique ou aux substances d'activité proche telles que autres AINS, aspirine,
- antécédents d'allergie aux autres constituants de la pommade,
- peau lésée, quelle que soit la lésion : dermatoses suintantes, eczéma, lésion infectée, brûlure ou plaie,
- à partir du 6ème mois de la grossesse : au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligoamnios, la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, en dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
DECONSEILLE :
Allaitement : les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

- En l'absence d'études spécifiques d'innocuité menées chez l'enfant, ce médicament est réservé à l'adulte (plus de 15 ans).
- Procéder à un lavage soigneux et prolongé des mains après chaque utilisation de la pommade.
- L'apparition d'une réaction cutanée après application de la pommade impose l'arrêt immédiat du traitement.
- Ne pas appliquer sur les muqueuses, ni sur les yeux.
- Grossesse : dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
- Effets indésirables liés à la voie d'administration :
rares manifestations allergiques cutanées, à type prurit ou érythème localisé.
- Réactions d'hypersensibilité :
. rougeur, prurit, éruption.
. sensation de brûlure et dessèchement de la peau.
- Autres effets systémiques des AINS : ils sont fonction du passage transdermique du principe actif et donc de la quantité de la pommade appliquée, de la surface traitée, du degré d'intégrité cutanée, de la durée de traitement et de l'utilisation ou non d'un pansement occlusif (effets digestifs, rénaux).
- En raison de la présence de parahydroxybenzoate de méthyle et de propyle, risque d'eczéma de contact ; exceptionnellement, réactions immédiates avec urticaire et bronchospasmes.
Grossesse :
Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque.
Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
- le foetus à :
. une toxicité cardiopulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel),
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligoamnios,
- la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
Allaitement :
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
En raison du faible passage systémique lors d'un usage normal de la pommade, les interactions médicamenteuses signalées pour l'acide niflumique per os sont peu probables.
Voie locale.
Posologie :
1 application 3 fois par jour.
Mode d'administration :
Faire pénétrer la pommade par un massage doux et prolongé, sur la région douloureuse ou inflammatoire.
Se laver soigneusement et de façon prolongée les mains après utilisation.
Durée de conservation :
3 ans
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
Sans objet.

L'application de trop fortes doses peut entraîner l'exacerbation des effets indésirables : irritation, érythème, prurit.
En cas de trop grande application cutanée, rincer abondamment à l'eau.
TOPIQUES POUR DOULEURS ARTICULAIRES ET MUSCULAIRES.
(M : Muscle et Squelette).
Code ATC : M02AA17.
L'acide niflumique est un anti-inflammatoire non stéroïdien de la classe des acides fénamiques.
Sous forme de pommade, il possède une activité anti-inflammatoire et antalgique.
Un passage transcutané de l'acide niflumique, après application cutanée avec massage, est observé.
Comparée à la gélule, la biodisponibilité relative de la pommade est de l'ordre de 2,4 +/- 0,9 POUR CENT.
Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Tube (PE) de 60 g.